Estrées (Nord)
Estrées | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat |
Lionel Blassel 2020-2026 |
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Code postal | 59151 | ||||
Code commune | 59214 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Estrésiens, Estrésiennes[1] | ||||
Population municipale |
1 116 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 192 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 03″ nord, 3° 04′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 63 m |
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Superficie | 5,82 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Gouy-sous-Bellonne (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | 17e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.estrees.fr/ | ||||
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Estrées est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Estrées est située dans une plaine, et est à proximité du canal de la Sensée, qui passe à environ 1 kilomètre.
Une butte surplombant le village, est utilisée comme champ.
Estrées et Gouy, le village à proximité, sont séparés par la limite entre les départements du séparant le Nord et du Pas-de-Calais.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Arleux, le Goeulzin[2], le Mont de la Vigne[3] et un autre petit cours d'eau[4],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 857 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sensée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Estrées est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gouy-sous-Bellonne[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,9 %), zones urbanisées (10,7 %), forêts (0,4 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 466, alors qu'il était de 436 en 2014 et de 415 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 95,9 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Estrées en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Estrées[I 2] | Nord[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 95,9 | 90,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,9 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,2 | 7,8 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la ligne 20 du réseau Évéole.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[17]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Vers 1070, l'évêque de Cambrai et Seigneur du village cède celui-ci au chapitre Sainte-Croix de Cambrai. Le premier château féodal est détruit en 1488 et le second château subit le même sort lors de la Révolution[19].
Avant la Révolution française, Estrée est le siège d'une seigneurie. Au début du XVIIIe siècle, elle relève du roi à cause du château de Douai. Elle consiste en un château et des terres de différentes sortes (terres labourables, prairies, marais, bois,..); 52 arrière-fiefs en relèvent[20].
Détenue par Claude-François Marnix, vicomte d'Ogimont, baron de Rollencourt (Rollancourt?), Berlecourt, Maisoncelle, et son épouse Anne-Antoinette-Agnès de Haudion au début de 1714, elle est vendue par contrat passé à Arras devant notaires le à Louis-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies, La Broye, Lannoy, fils de Lamoral-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies et de La Broye, et de Marie Madeleine van der Meere, et mari de Anne-Marie de Logenhagen[20].
Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord.
Elle faisait partie depuis 18012 du canton d'Arleux[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aniche
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-septième circonscription du Nord.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Estrées est membre de la communauté d'agglomération dénommée Douaisis Agglo, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des Élections municipales françaises de 2020 , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 817 inscrits, dont 385 votants (47,12 %), 6 votes blancs (1,56 %) et 349 suffrages exprimés (90,65 %). La liste Ensemble, continuons pour l'avenir d'Estrées menée par le maire sortant Lionel Blassel recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[23],[24].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Thérèse-Gras, ainsi dénommée en mémoire d'une peintre qui « faisait preuve d'un dévouement exemplaire à l'égard de la commune et pour les enfants de l'atelier de peinture[29] ».
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2021, la commune comptait 1 116 habitants[Note 7], en évolution de +0,45 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 551 hommes pour 555 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie associative
[modifier | modifier le code]Le Village d'Estrées est composé de plusieurs associations.[réf. nécessaire]
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint Sarre reconstruite après 1918: beau clocher en grès.
- À Estrées se trouvent plusieurs lieux commémoratifs : le monument situé sur la place de la mairie, commémorant les anciens combattants du village de la guerre 1939-1945, le square Maurice Sauvage, à l'hommage d'un ancien maire, ainsi qu'une butte (relief qui surplombe estrées), où un château y figurait il y a plusieurs siècles.
- Un calvaire se tient rue du Mont, tous les ans y est célébrée une messe en plein-air lors des fêtes du Mont Carmel (à la mi-Juillet)[35].
- Entre Estrées et Gœulzin se trouve une source, et sur les champs entre Estrées et Férin, on peut apercevoir les restes d'un ancien moulin en briques rouges, où, depuis son abandon, reposent de merveilleux oiseaux.
-
Le chevet de l'église.
-
Détail du clocher.
-
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople à la fasce d'hermines. |
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Détails |
Folklore
[modifier | modifier le code]La commune possède un géant[36] : Oscar[37].
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Le site Internet de la commune
- « Dossier complet : Commune d'Estrées (59214) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Estrées »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Estrées » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gouy-sous-Bellonne comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La salle des fêtes de la commune porte le nom de ce maire.
- Une place de la commune porte le nom de ce maire, élu municipal de 1983 à 2019.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Estrées » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Estrées » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Estrées - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Estrées - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Services publics Estrées », sur habitants.fr (consulté le ).
- Sandre, « le Goeulzin »
- Sandre, « le Mont de la Vigne »
- « Fiche communale d'Estrées », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Estrées et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gouy-sous-Bellonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
- Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
- Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 67-68
- Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 58, lire en ligne.
- Journal officiel du 12 février 1921, p. 1897.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Élections municipales, Estrées », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 32.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Estrées », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- Source : A. Romano secrétaire de Mairie, le 25/11/2022.
- « Estrées : Lionel Blassel succède à Clovis Pintiaux à l'élection du maire : Beaucoup d'Estrésiens étaient étonnés dimanche dernier de l'élection sans appel de la liste menée par Lionel Blassel face à celle d'Hervé Berdys », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Alice Favier, « Estrées : un parking pour la salle des fêtes et un préau pour l'école : À 53 ans, Lionel Blassel a entamé son premier mandat. Son objectif est de conserver la bonne situation financière en ciblant les priorités de sa commune. Première cible, l'école qu'il qualifie de « poumon du village » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Estrées: Lionel Blassel parti pour un second mandat de maire : C'est dans la salle des fêtes d'Estrées, sans public, qu'a eu lieu le conseil municipal qui a procédé à l'élection du maire et de ses adjoints. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le groupe scolaire Thérèse Gras », Services > Enfance et jeunesse, sur estrees.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrées (59214) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Site internet de la ville : https://www.estrees.fr/decouverte/fetes-locales/la-fete-du-mont-carmel/
- Arnaud Déthée, « Tristan, le p'tit Belge qui veut sortir les géants de l'oubli », La Voix du Nord, no 24102, , p. 10 (lire en ligne) :
.« Le Douaisis continue à faire naître des géants, comme à Auberchicourt ou Estrées. »
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15